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C’est dans le village de Yangacounda (commune de Bambaly) dans le département de Sédhiou que s’est tenue, ce jeudi 21 août 2025, la cérémonie officielle de lancement de la distribution de plants fruitiers...
L’Agence sénégalaise de la reforestation et de la Grande muraille verte (ASERGMV), en collaboration avec l’Association des jeunes et des femmes pour l’essor et le bien-être (AJEFEB), a officiellement lancé la nouvelle campagne de reboisement dans la commune de Mbour.
L'initiative de la Grande Muraille verte au Sénégal vise à reboiser ou à aménager 850 000 ha.
La commune de Sindian sise dans le département de Bignona a accueilli la cérémonie de distribution de plants fruitiers aux producteurs de la Casamance.
"La restauration des terres, la lutte contre la désertification et la résilience à la sécheresse".
Ce sont 400 plants d’anacardiers, manguiers et de ‘’khaya senegalensis’’ (caïlcédrat) qui ont été reboisés dans des établissements élémentaires de Pakour, Paroumba, Ouassadou...
C’est parti pour la cinquième édition de la caravane des Vacances vertes
Des conducteurs de "Waar gaïndé" ou taxis clandestins sont peu loquaces sur le sujet de cette voie routière qui relierait Dakar à Saint-Louis par la côte.
La commune de Sindian sise dans le département de Bignona a accueilli la cérémonie de distribution de plants fruitiers aux producteurs de la Casamance.
A Kaffrine, depuis 2004, les « Femmes forestières » de l’Union nationale des coopératives d’exploitants forestiers du Sénégal (Uncefs) mènent au quotidien le combat pour la protection de l’environnement et leur autonomisation. Grâce à leur bravoure, des dizaines d’hectares ont été reboisées dans la forêt classée de Sikilo (Kaffrine). Elles demandent tout de même l’accompagnement des pouvoirs publics par l’octroi de subventions et de financements.
Le directeur des eaux et forêts, chasse et de la conservation des sols, le colonel Baidy Bâ a salué, lundi, l’engagement du khalif général des mourides, Serigne Sidy Moctar Mbacké, de la marie et de la population de Touba pour la réussite du programme ''Touba ville verte'', soulignant ''qu’il y a zéro mortalité'' sur les plantations démarrées en septembre dernier.
Les chiffres pour déterminer le coût financier du projet «Touba, ville verte» ont varié d’une bouche à une autre depuis que l’idée a été lancée. Un ministre avant Abdoulaye Bibi Baldé a parlé de 400 millions de Fcfa devant la presse. L’actuel ministre, lui-même, n’a su donner un montant fixe. Certains de ses collaborateurs sont même allés jusqu’à parler de coût global de 2 milliards.
Si la satisfaction est le sentiment le mieux partagé pour les habitants de la Cité « Jaxaay », il n’en reste pas moins des choses à faire. La cité des sinistrés n’a ni marché, ni maternité, encore moins de cimetière. La question de l’état civil se pose également avec acuité.
Le ministère de la Jeunesse a décidé d’accompagner les jeunes détenus durant leur séjour carcéral et les aider à réussir leur réinsertion socio-économique à la sortie de prison. C’est dans cet esprit que le ministre de la Jeunesse, Mamadou Lamine Keïta, a rendu visite aux pensionnaires des établissements pénitentiaires de Hann (ex-fort B) et de Sébikotane. Le ministre de la Jeunesse, Mamadou Lamine Keïta, a rendu visite hier aux pensionnaires des prisons du Fort B et de Sébikotane. Pour l’année 2009, le département de la Jeunesse a décidé d’étendre ses programmes de protection et d’accompagnement des jeunes défavorisés parmi lesquels ceux qui sont en situation de détention ou en conflit avec la loi, mineurs comme majeurs.
Des milliers de jeunes venus de Dakar, Louga, Linguère et Touba et regroupés dans des camps de vacances disséminés dans les sites de reboisement de Téssékéré et de Widou s’activent dans la plantation d’arbres pour mettre sur orbite la composante sénégalaise de la Grande muraille verte (GMV), a constaté le correspondant permanent de l’APS dans la capitale du Ndiambour. Estimés à plus de 2000, les jeunes qui sont essentiellement des étudiants, des agents des Eaux et Forêts, des politiques et des volontaires ont déployé leurs tentes sur les sites de reboisement.
A chaque saison, la Casamance croule sous les mangues. De nombreux villages, durant les années de paix, avaient planté des milliers d’arbres fruitiers, dont ils tiraient l’essentiel de leurs revenus. Mais depuis quelques années, les choses ont changé. La situation sociale s’est dé-gradée et le naufrage du Joola a encore plus isolé le sud du pays. Pour ne pas tout perdre, nombre de producteurs déracinent leurs manguiers, et mettent à la place des anacardiers, dont le fruit peut être conservé de longues années durant.
