VIH : un traitement préventif suscite un grand espoir • FRANCE 24
Pédocriminalité internationale : des enfants sénégalais victimes de viols et d’inoculation du VIH
Viol collectif à Mbour : la victime reçoit un traitement d'urgence
Le directeur régional de la santé de Sédhiou, le Dr Yeri Camara, a révélé que 66 enfants sont porteurs du VIH/SIDA dans la région. Le lancement du projet EMPRISE 4 vise à renforcer la prise en charge psychosociale de ces enfants et adolescents vivant avec le VIH.
Afrique du Sud: les coupes d'USAID menacent la survie d'enfants séropositifs
La région de Kaffrine a accueilli ce matin le lancement officiel du projet EnPrise 4, une initiative ambitieuse visant à renforcer la prise en charge psychosociale des enfants et adolescents vivant avec le VIH, particulièrement ceux en situation de vulnérabilité ou en transition au Dolutégravir.
Alors que le Sénégal compte près de 3 600 enfants et adolescents vivant avec le VIH, les chiffres révèlent une réalité alarmante : seuls 42 % sont diagnostiqués, 41 % bénéficient d’un traitement antirétroviral, et à peine 32 % atteignent une charge virale indétectable.
Le VIH/SIDA, loin d’être éradiqué, pourrait connaître un regain dévastateur. L’ONUSIDA sonne l’alerte face à la réduction drastique des financements américains dans la lutte contre ce fléau.
Le directeur régional de la santé, le Dr Yeri Camara, a révélé ce lundi que 66 enfants sont porteurs du VIH/SIDA dans la région de Sédhiou.
En Afrique du Sud, qui compte la plus importante population séropositive au monde, des patients trouvent porte close depuis la suspension des programmes d'aide étrangère annoncée la semaine dernière par le président américain Donald Trump.
Les conséquences de la suspension immédiate du financement des programmes de lutte contre le VIH, particulièrement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire peuvent être catastrophiques.
Le Rwanda emboite le pas à la Zambie et s’apprête à introduire le CAB-LA, un médicament préventif contre le VIH recommandé par l’OMS depuis 2022.
La Journée mondiale de lutte contre le sida, célébrée le 1er décembre 1988, a été la première journée internationale dédiée à la santé au niveau mondial.
Le district sanitaire d’Oussouye, le Cap Skirring, Élinkine, Kafountine et Abéné ont été les sites choisis pour le déroulement des activités de dépistage...
L’affirmation ne manquera pas de soulever des réactions dans le monde de la médecine dite moderne.
Le test sera bientôt disponible dans les officines.
Les infections au VIH, à l'origine du sida, sont tombées en 2023 à leur plus bas niveau historique, a annoncé mardi l'Onusida, en charge de la maladie au sein des Nations Unies, même si ce déclin est jugé encore bien trop lent.
Aujourd'hui, 41 000 personnes, anciens malades comme nouveaux patients, vivent avec le Vih au Sénégal.
À l’instar de l'unité de traitement ambulatoire (UTA) de Kolda, l’hôpital régional est impliqué dans la prise en charge des cas de VIH chez les enfants. « Actuellement, nous avons environ 150 à 160 enfants qui sont suivis pour le VIH. La prise en charge est faite en collaboration avec le service social, parce que ces malades sont suivis en consultation régulièrement. Il y en a qui sont suivis tous les mois ou tous les trois mois » a renseigné le docteur Djiby Seck, pédiatre de l’hôpital régional de Kolda.
La précision est de taille. Selon le médecin-infectiologue chargé de la prise en charge du VIH à Kolda, docteur Thierno Chérif Sy, « l'unité de traitement ambulatoire (UTA) est une structure...
