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Le député de Pastef Guy Marius Sagna ne lâche pas le ministre de l'Education nationale, Moustapha Guirassy.
L'inspection d'académie de Ziguinchor a sorti une nouvelle fois la cravache, pour sévir dans le milieu scolaire.
![[Reportage] Conflits en Casamance : Bissine renaît des cendres de la tragédie](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//7eb97e1c9b8ed7da3050165fdfff6e8a67875169.png)
Bissine, le village martyr du conflit en Casamance. Dans les années 92, les habitants étaient pris entre deux feux.
Récemment recasées à Adéane après 30 ans d’errance causée par le conflit casamançais, les populations des villages de Bissine et environs sont en train de reprendre le cours normal de la vie grâce à l’armée et les démembrements de l’Etat.
Dans la même optique d’améliorer les conditions de vie des populations comme l’a instruit le président Macky Sall
"L’armée doit poursuivre sa mission de protection des populations casamançaises", Colonel Antoine Wardini
Le préfet de Goudomp, Ousmane Niang, a fermé les 140 daaras recensés du département et confiné
Récemment recasées à Adéane après 30 ans d’errance causée par le conflit casamançais, les populations des villages de Bissine et environs sont en train de reprendre le cours normal de la vie grâce à l’armée et les démembrements de l’Etat.
Repos forcé pour le sieur Malick Diarra. Le sulfureux bûcheron de Ziguinchor, l’homme par qui le malheur de Boffa Bayotte est arrivé, est obligé d’observer un temps de pause dans l’exercice de son activité illégale.
«Je me réjouis de nos acquis dans la quête d'une paix durable en région naturelle de Casamance. Cette dynamique positive sera résolument confortée par la mise en œuvre intégrale des politiques et mesures d'accompagnement en cours d'exécution.»
Elles ont été exécutées samedi par des hommes armés, à Bofa, un village situé près de Ziguinchor, la principale ville du sud du Sénégal.
L'Association des ressortissants casamançais du Cap-Vert invite les pouvoirs publics à ''faire quelque chose" contre les agressions répétées dont sont victimes les ressortissants sénégalais établis à Calabaceira, un quartier situé au nord de Praia, la capitale cap-verdienne.
Amnesty International a exhorté lundi le Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) et le nouveau gouvernement à engager des négociations sincères pour l’avènement d’une paix définitive en Casamance, estimant que le moment est plus que jamais propice avec l’avènement d’un nouveau pouvoir à Dakar.
La recrudescence de la violence en Casamance avec des séries de tueries et de braquages dans cette partie méridionale du pays a, semble-t-il, obligé l’Etat à passer à la vitesse supérieure. En effet, depuis quelques jours, l’armée Sénégalaise est en train de déployer sur le terrain de très gros moyens militaires.
L’attaque du cantonnement militaire de Diégoune (département de Bignona) a été très meurtrière. La Direction de l’Information et des Relations Publiques des Armées (DIRPA) parle de six alors que des sources concordantes donnent neuf tués dont un officier et neuf autres blessés.
Les coupeurs de routes se sont à nouveau signalés dans l’extrême sud de la région de Sédhiou. Ce lundi, ils ont fait irruption entre Kaour et le village de Senghère où ils ont kidnappé 18 personnes avant de les détrousser de tout ce qu’elles possédaient : motos, vélos, argent et portables.Les personnes, enlevées, ont été libérées cinq heures après, saines et sauves.
Des ‘’états généraux du processus de paix en Casamance’’ se tiendront samedi et dimanche au CEDEPS de Ziguinchor, annonce un communiqué du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (MFDC), reçu à l’APS.
Le directeur de l’information et des relations publiques des armées sénégalaises, le colonel Abdourahim Kébé, a démenti les informations faisant état de militaires tués mardi au cantonnement du village de Kameubeul (près de la frontière avec la Gambie), affirmant qu’il y a eu ‘’tout au plus un blessé’’ au cours de cette attaque.
Plusieurs militaires sénégalais ont été tués mardi dans une attaque contre un cantonnement dans le village de Kabeumeu à la frontière avec la Gambie. Les responsables de l’armée ne préfèrent pas our le moment parler de bilan. L’Etat major a convoqué une réunion d’urgence ce matin pour se pencher sur la situation en Casamance marquée ces derniers jours par des attaques sur les populations civiles.
Plusieurs militaires sénégalais ont été tués mardi dans une attaque armée de rebelles présumés en Casamance, moins d'un mois après un assaut meurtrier dans cette région du sud du Sénégal en proie à un conflit indépendantiste, a indiqué à l'AFP une source militaire.
