5 % de croissance : Trop peu pour lutter contre le chômage des jeunes au Sénégal
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5 % de croissance : Trop peu pour lutter contre le chômage des jeunes au Sénégal
Note abaissée : une conséquence de la mauvaise gouvernance, pas la faute de Moody’s (Économiste)
Franc CFA : Le Pr Amath Ndiaye défend une réussite monétaire africaine face aux critiques populistes
Le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, démonte l’idée reçue selon laquelle une monnaie nationale permettrait d’échapper à l’endettement extérieur.
La Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) s’apprête à lancer le e-CFA, une version entièrement numérique du franc CFA, marquant une étape historique. Fini les billets et pièces
Diaspora-Bonds : "Investir au Sénégal rapporte plus qu’en France, Italie ou USA" (économiste)
Maternité : Quand les crèches chères brisent les rêves des femmes travailleuses
Au Sénégal, concilier maternité et carrière professionnelle reste un défi de taille pour les femmes.
Le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, affirme dans une analyse audacieuse que le franc CFA...
Le Sénégal fait face à une crise financière marquée par des déficits budgétaires persistants et un endettement galopant, avec un service de la dette de plus en plus lourd et des besoins annuels dépassant 5 000 milliards FCFA (2025–2028), selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD.
Face à une dette publique record et un déficit budgétaire préoccupant, le Sénégal s’engage dans un programme de réformes pour tenter de rétablir ses équilibres macroéconomiques.
Le plan de redressement économique et social apporte bien de la nouveauté, comparé aux précédents ; les leviers d’action sont aussi clairement identifiés.
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
Sénégal : Y a-t-il un risque de non-paiement des salaires ?
L’économiste Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD propose une histoire accessible pour expliquer la dette publique sénégalaise.
Un rapport de la banque britannique Barclays désigne le Sénégal, pays le plus endetté d’Afrique, avec une dette évaluée à 119% du PIB en 2024.
Selon l’économiste Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD, la dette publique sénégalaise, bien que ne plaçant pas le pays comme le plus endetté d’Afrique, suscite une vive inquiétude. Avec un ratio dette/PIB de 119 % en 2024, « ce niveau dépasse très largement les seuils de prudence admis dans les pays en développement : 60 % selon le FMI et 70 % selon les critères UEMOA », alerte l’expert. Seuls le Ghana, le Soudan ou l’Érythrée affichent des ratios supérieurs, reflétant une accumulation rapide liée à des « déficits jumeaux (budgétaire et courant) et d’accès limité aux financements concessionnels ».
Dans un contexte de crise financière marquée par une chute des obligations souveraines en dollars du Sénégal, le professeur Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, tire la sonnette d’alarme dans une tribune intitulée "Sénégal :
Depuis plusieurs jours, une affirmation relayée notamment par l'APR circule selon laquelle l’État du Sénégal se serait endetté de 10 200 milliards FCFA en à peine 14 mois. Le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, dément cette information, qualifiée de « factuellement inexacte » après un examen rigoureux des données budgétaires issues des Lois de Finances Rectificatives 2024 et 2025.
À l’occasion de la publication des rapports d’exécution budgétaire du quatrième trimestre 2024 et du premier trimestre 2025, le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG de l’UCAD